
1 – Nous avons des tensions, des douleurs : nous constatons dans notre quotidien les conséquences de la façon dont s’organise notre mouvement…
2 – …mais méconnaissons notre façon de bouger, pensons que c’est la seule possible et ne savons pas qu’il y aurait peut-être possibilité et… nécessité d’en changer.
3 -Nous en subissons les effets tous les jours mais sommes persuadés de leur caractère irréversible.
4 – Nous avons en nous le potentiel de mouvement pour y remédier mais n’en avons pas conscience.
QUE FAIRE, où et comment ?
Pour des propositions de réponses se reporter à l’article suivant : « Priorités et moyens »